Cristina Coteanu fut secrétaire d’Etat roumaine.

 

Après avoir vécu les premières années de sa vie sous le joug du totalitarisme dans son pays d’origine, elle s’est constituée, du haut de ses 35 ans, un C.V qui rendrait jaloux plus d’un juriste européen à la retraite.

Son parcours académique et professionnel s’apparente à lui seul à un mini tour d’Europe: docteur en droit à l’université de Leiden (Pays-Bas) du Queen Mary College of the University of Londen, diplômée de l’Ecole Solvay, diplômée en Affaires européenne et en Droit international de l’ULB, de l’Institut des Hautes Etudes Internationales de Nice (France), sans parler de ses distinctions…

 

Cristina Coteanu est actuellement professeur en droit européen, avocate, membre du Barreau de Bruxelles.

Elle a représenté le ministère des Affaires étrangères luxembourgeois dans le cadre de la politique de voisinage, en charge d’un projet visant la réforme de la Justice en Turquie.

Parmi d’autres expériences, elle a démarré sa carrière professionnelle au parlement européen avant d’être nommée directrice au Conseil des Barreaux de l’Union Européenne.

 

Sans carte de parti, elle a sollicité elle-même sa présence sur la liste des FDF en raison du contenu de leur programme européen, a commenté le président de la commission électorale des FDF François Roelants Duvidier, interrogé à l’issue de la conférence de presse de présentation par le président du parti Olivier Maingain, et Mme Antoinette Spaak, ministre d’Etat.

 

Selon M. du Vivier, la liste des candidats pour le scrutin européen qui bientôt rendue publique sera très internationale.

 

Mme Coteanu a estimé que l’Europe était la première raison d’être des FDF dont ils défendent de manière constante les idées du fédéralisme démocratique depuis près de 50 ans, par fidélité à la mémoire de Paul-Henri Spaak, un des pères fondateurs de l’Europe.