Trop is te veel!
Une plainte a été déposée par mes soins contre X suite à des agissements suspects dont j'ai été victime. En effet, le mardi 05.04.2011, sur le chemin du retour de mes cours du soir, un véhicule de marque MERCEDES, de type JEEP, de teinte noire ou sombre, immatriculée HNV951, m'a suivi durant près de 20 minutes. Tout en évitant de circuler dans ma rue pour préserver mes proches d'éventuelles exactions, j'ai emprunté un parcours très singulier, n'hésitant pas à tourner à maintes reprises autour d'un îlot et à circuler dans des rues peu fréquentées pour vérifier les intentions des poursuivants. Ce trajet étrange n'a jamais découragé les 2 personnes à bord de la Jeep MERCEDES. Finalement, la MERCEDES a changé de direction pour disparaître pendant une dizaine de minutes. Fait troublant, ce véhicule s'est présenté, par la suite, à trois reprises, à faible allure, devant mon domicile. Ces individus devaient donc obligatoirement connaître les lieux. Elément inquiétant, la plaque d'immatriculation HNV951 a été radiée en 2003! Vu la méthode peu orthodoxe utilisée, il s'agit de toute évidence d'une nouvelle tentative saugrenue de déstabilisation orchestrée à mon encontre par des personnes qui semblent être dans le collimateur de la justice carolorégienne pour divers motifs peu avouables aux relents probablement frauduleux dont certains médias régionaux et nationaux ont fait échos, certainement en raison de querelles intestines, voire de divergences d'opinions décelées au sein même du PS local (marchés publics nébuleux, succession de 4 receveurs communaux durant cette mandature, domiciliations fictives irréfutables de personnes physiques, mise à disposition gratuitement et sans aucune convention d'un bâtiment communal à l'ASBL "Chapelle Festival", obstruction récurrente au droit de regard du conseiller communal en totale violation de l'article L1122-10 du Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation ["Aucun acte, aucune pièce concernant l'administration, ne peut être soustrait à l'examen des membres du conseil."], refus obstiné de respecter les prescriptions légales en matière de délivrance des cartes d'identité électroniques, transgression évidente des modalités de publication des règlements et ordonnances des autorités communales...). A ce sujet, il appartiendra bien entendu à la justice de décider de l'opportunité des suites à apporter à ces différents dossiers.
Cette plainte vise essentiellement à corroborer ma désapprobation quant à cette vaine et odieuse intimidation dont les auteurs et commanditaires devront, du moins je l'espère, tôt ou tard répondre devant les tribunaux.