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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 23:55

Courrier électronique adressé le 28.09.2013 à M. Karl DE VOS, Bourgmestre, pour obtenir quelques renseignements au sujet des produits phytopharmaceutiques utilisés par les services communaux chapellois:

 
----- Original Message -----
Sent: Saturday, September 28, 2013 12:53 AM
Subject: Fw: M. Karl DE VOS, Bourgmestre - demande de renseignements concernant les produits phytopharmaceutiques utilisés par les services communaux chapellois
 COPIE POUR INFORMATION ET TRAITEMENT
(merci de bien vouloir me confirmer par retour de mail via vanhemel@swing.be
la bonne réception de ce courriel et sa transmission à la personne concernée)
 
----- Original Message -----
Sent: Saturday, September 28, 2013 12:48 AM
Subject: M. Karl DE VOS, Bourgmestre - demande de renseignements concernant les produits phytopharmaceutiques utilisés par les services communaux chapellois
Bruno VANHEMELRYCK
Conseiller communal "AC - FDF"
rue Louis de Brouckère, 38
BE-7160  GODARVILLE (BELGIQUE)
Tél. 064/44.34.61 - fax 064/44.71.38 - GSM 0495/18.42.28
 
Administration communale
A l’attention de Monsieur Karl DE VOS
Bourgmestre
place de l’Hôtel de Ville, 16
BE‑7160  CHAPELLE‑LEZ‑HERLAIMONT
Tél. 064/43.13.17
Fax 064/43.13.28

 

 

Demande de renseignements concernant les produits phytopharmaceutiques utilisés par les services communaux chapellois

 

 

  

Monsieur le Bourgmestre,

 

Comme vous le savez certainement, le paysage wallon de la gestion des espaces publics entre dans une phase de profondes modifications du fait de l’interdiction d’ici à 2019 du recours aux produits phytopharmaceutiques (dont les herbicides) pour l’entretien ou la gestion de ces espaces.
 
En effet, en date du 5 septembre 2013, paraissaient au Moniteur belge un décret et l’arrêté du Gouvernement wallon s’y rapportant transposant la directive européenne 2009/128/CE. Ces deux textes visent à fixer un cadre permettant une utilisation des pesticides compatible avec le développement durable. Ils ont pour objectif de réglementer de manière stricte l’usage des produits phytopharmaceutiques, particulièrement dans les lieux publics ou les lieux privés fréquentés par un public "vulnérable" (terrains de sports, etc.).

A partir du 1er juin 2014, l’application des produits phytopharmaceutiques dans les espaces publics ne sera plus autorisée que moyennant le respect de certaines conditions reprises dans l’arrêté du Gouvernement wallon. Le législateur wallon a fixé une période transitoire qui permettra l’utilisation sous ces conditions de produits phytopharmaceutiques jusqu’au 31 mai 2019, mais il faut savoir que certaines zones traitées pour l’instant par les communes avec ces produits ne seront pas couvertes par cette période transitoire.

En effet, l’emploi des herbicides est actuellement autorisé en Wallonie sur les espaces pavés ou recouverts de gravier, les allées de cimetières et les espaces situés à moins d’un mètre d’une voie de chemin de fer. Ces exceptions à la loi de 1984, lorsque ces terrains revêtus non cultivables sont reliés à un réseau de collecte des eaux pluviales (ex. : grille, avaloir, filet d’eau...) ou directement aux eaux de surface, ne font pas partie des dérogations possibles et ne seront dès lors plus valables dès le 1er juin 2014. Par exemple, un trottoir jouxtant un filet d’eau ou une allée de cimetière reliée à un réseau de collecte des eaux ne pourront plus être traités avec des produits phytopharmaceutiques dès le 1er juin de l’année prochaine.

Bien que l’essentiel soit de respecter la première échéance de 2014, ce changement d’organisation ne se fera utilement que moyennant une réflexion plus globale sur la gestion des territoires concernés. L’application des principes de la gestion différenciée aux espaces publics permettra à leurs gestionnaires de répartir différemment les charges en moyens humains et de détecter les besoins en matériel ou en techniques alternatives.

La réalisation d’un plan de désherbage répartira les différents espaces en fonction des besoins en entretien et des fonctions y attribuées allant d’un espace de prestige à une parcelle naturelle. Ensuite, la commune devra procéder au choix du matériel alternatif qui sera nécessaire le cas échéant pour entretenir les espaces qui, selon le plan de désherbage, sont encore à désherber. Diverses possibilités existent allant de l’achat en propre à l’achat conjoint avec d’autres communes en passant par la possibilité de prêt. Tous ces changements devront s’accompagner d’une information des équipes et des citoyens en vue de les sensibiliser aux raisons de ces changements.

Par ailleurs, sur base du règlement européen 1107/2009, tous les utilisateurs professionnels de produits phytopharmaceutiques, y compris les communes, doivent tenir un registre d’utilisation de ces produits et le conserver pendant trois ans. Ces registres doivent être tenus à la disposition tant des autorités régionales que de tiers comme les producteurs-distributeurs d’eau ou les citoyens.

Les communes, qui utilisent par exemple des herbicides pour entretenir leurs espaces publics, doivent dès lors tenir ce registre reprenant pour chaque application la date, le nom et le dosage du produit phytopharmaceutique appliqué, ainsi que la zone et le type de surface ciblés.

Il est important pour chaque commune de tenir ce registre non seulement parce qu’il s’agit d’une obligation européenne, mais également parce que cela représentera le point de départ pour l’élaboration du plan relatif à la réduction des produits phytopharmaceutiques dans les espaces publics. Ce plan sera une des clés d’accès à la période transitoire permettant l’utilisation des produits phytopharmaceutiques dans certaines zones et sous certaines conditions encore pendant cinq ans. 

En tant que conseiller communal, il me serait très agréable d'obtenir, pour la période s'étalant du 01.01.2012 à ce jour, une copie électronique au format DOC, XLS ou PDF du registre susmentionné tenu éventuellement par la Commune de Chapelle-lez-Herlaimont.
 
Je vous remercie d’avance pour la suite favorable que vous réserverez à ma requête légitime.

 

J'attends vos bonnes nouvelles avec impatience.

 

Entre-temps, je vous prie de croire, Monsieur le Bourgmestre, à l’assurance de ma parfaite considération et de mes meilleurs sentiments.

 

 

Bruno VANHEMELRYCK

Conseiller communal "AC - FDF"

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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 19:56

Un exemple concret des transformations destructrices d'un cadre jadis hautement naturel engendrées par l'indolence du PS local: la réserve naturelle de Godarville, qualifiée d'antan d'ornithologique car elle accueillait une multitude d'espèces d'oiseaux, est singulièrement devenue un lieu surnaturel ornithoplastique..., voire une déchetterie à ciel ouvert... qui sera probablement enfouie très prochainement par les Partisans Socialistes de la politique de l'autruche... D'aucuns, sensibles à la cause animale, se sentiront cette fois vraiment "pigeons"! 

 

Photos prises le 24.09.2013 par Plastic Age:

 

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 07:56

Article intitulé "24 fois plus de (bonne) gouvernance" paru le jeudi 26 septembre 2013 sur le site Internet du journal "La Dernière Heure" (édition "Bruxelles") - version papier disponible dans les librairies ou via abonnement:

 

24 fois plus de (bonne) gouvernance

Guy Bernard  Publié le jeudi 26 septembre 2013 à 08h27 - Mis à jour le jeudi 26 septembre 2013 à 08h39

  
Bruxelles Présentées par les maïeurs Didier Gosuin et Olivier Maingain, elles rationalise(raie)nt le paysage politique.

Les Assises de la bonne gouvernance voulues par l’Olivier n’ont, jusqu’ici, débouché que sur... le devoir amarante . Soit une "première contribution" de 24 propositions, énoncées hier. Présentées par les maïeurs Didier Gosuin et Olivier Maingain, elles rationalise(raie)nt le paysage politique.

1. Les mandats. Le parlement wallon se contente de 75 membres. "Réduisons à 45 les 89 députés!", suggère le duo. A l’identique, celui-ci combattrait les cumuls, réduirait le nombre de mandataires dans les intercommunales. A la trappe aussi, pour les compères, la Cocom (voir ci-contre), la "coquille vide" de l’agglomération ou les postes de gouverneur et vice-gouverneur. En un registre similaire, ils aspirent à ce que l’Action sociale communale échoie dans son entièreté à un président du CPAS, de facto membre du collège.

2. Les compétences. "N’ayons plus qu’un seul opérateur pour le balayage. Avec transfert des moyens humains et matériels...", lance l’Auderghemois. Qui, en lointain ministre de l’Environnement qu’il fut, imagine foule de nouveaux métiers par Bruxelles-Propreté, guère appelée à disparaître.

3. La centralisation. Focalisés sur les économies d’échelle, les fédéralistes francophones souhaitent tant une centralisation des trésoreries et dettes communales ("Tout en maintenant l’autonomie des pouvoirs locaux", préviennent-ils), qu’une centrale d’achat régionale à laquelle les municipalités auraient accès.

4. L’évaluation. Aux fins d’éviter les "vœux pieux" qui donnent des boutons à Didier Gosuin, le 127 chaussée de Charleroi prône la mise sur pied d’un audit "préalable à toute nouvelle législation" et d’un organisme, apte à contrôler à mesure l’impact des politiques. Ce rôle, la Cour des comptes pourrait l’assumer, estiment-ils.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 10:31

Ajout d’un point à l’ordre du jour du conseil communal chapellois

du lundi 30 septembre 2013 proposé par les conseillers communaux

Jean‑Marie BOURGEOIS (CDH), Maryline BOUSSINGAULT (CDH),

Giuseppe DI FRANCO (CDH), Jacques STAUMONT (MR),

Bruno VANHEMELRYCK (FDF) et Robert WATHELET (Ecolo)

 

MOTION VISANT A LA CREATION D‘UNE COMMISSION POUR DEFINIR LA LETTRE DE MISSION DU DIRECTEUR GENERAL ET DU DIRECTEUR FINANCIER

 

Projet de résolution «Créer une commission pour définir la lettre de mission du directeur général et du directeur financier»

 

Le Conseil communal, siégeant publiquement:

 

Vu l’ordre du jour du Conseil communal de Chapelle-lez-Herlaimont du 30 septembre 2013;

 

Vu le point 29 de l’ordre du jour du dit Conseil, en l’occurrence «Personnel communal – Règlement fixant les conditions et modalités de nomination et de promotion au grade de directeur général, de directeur général adjoint et de directeur financier - Décision»;

 

Vu le Code [wallon] de la démocratie locale et de la décentralisation (CDLD);

 

Vu l’article L1124‑1 du CDLD qui précise que «Le contrat d’objectifs contient la description des missions légales du directeur général et qui ressortent du programme de politique générale, ainsi que tout autre objectif quantifiable et réalisable relevant de ses missions.

Il décrit la stratégie de l’organisation de l’administration au cours de la législature pour réaliser les missions et atteindre les objectifs et les décline en initiatives et projets concrets. Il contient une synthèse des moyens humains et financiers disponibles et/ou nécessaire à sa mise en œuvre.

Le contrat d’objectifs est rédigé par le directeur général sur base et dans les six mois de la réception de la lettre de mission que lui aura remis le Collège communal à l’occasion du renouvellement intégral du Conseil communal ou du recrutement du directeur général.

Cette lettre de mission comporte au moins les éléments suivants:

1°) la description de fonction et le profil de compétence de l’emploi de directeur général;

2°) les objectifs à atteindre pour les diverses missions, notamment sur base du programme de politique générale;

3°) les moyens budgétaires et les ressources humaines attribués;

4°) l’ensemble des missions qui lui sont conférées par le présent Code et notamment sa mission de conseil et de disponibilité à l’égard de l’ensemble des membres du Conseil communal.

Une concertation a lieu entre le directeur général et le Collège communal sur les moyens nécessaires à la réalisation du contrat d’objectifs. Le directeur financier y est associé pour les matières dont il a la charge. En cas d’absence d’accord du directeur général sur les moyens, l’avis de ce dernier est annexé au contrat d’objectifs tel qu’approuvé par le Collège Communal.

L’actualisation du contrat d’objectifs est annuelle. Sur demande expresse du directeur général, le contrat d’objectifs peut être adapté par le Collège en cours d’année.  Le contrat d’objectifs est communiqué au Conseil, de même que les actualisations et éventuelles évaluations.».

 

Vu le règlement d’ordre intérieur du Conseil communal chapellois et plus particulièrement les articles 44 à 54 de la section 17 intitulée «Les commissions du Conseil communal»;

 

Attendu que le poste de directeur général faisant fonction est proposé par la majorité socialiste à une personne ayant réussi l’examen de receveur communal qui s’est déroulé début 2013, qui s’est, par ailleurs, présentée aux élections communales de 2006 sur la liste «PS» et qui est donc une ancienne colistière de plusieurs membres de l’actuel Collège communal chapellois;

 

Attendu que le poste de directeur financier faisant fonction n’a pas été attribué à une personne ayant réussi l’épreuve de recrutement organisé début 2013 pour pourvoir au poste de receveur communal;

 

Attendu que le Collège communal est exclusivement composé de mandataires socialistes;

 

Considérant que les postes de directeur général et de directeur financier sont d’un niveau de responsabilités assez équivalent et qu’il y a lieu de les traiter de manière semblable;

 

Considérant que les postes de directeur général et de directeur financier sont des fonctions indépendantes du pouvoir politique et qu’il y a, dès lors, lieu d’éviter toute forme de politisation de l’Administration locale;

 

Considérant que l’installation de commissions au sein du Conseil communal vise une garantie de transparence, de rapportage vers les conseils communaux et d’équilibre dans les rapports entre majorité/opposition dans l’esprit de ce que prévoit, par exemple, le Pacte culturel;

 

Vu les articles L1122‑13, L1122‑17, L1122‑19, L1122‑20, L1122‑24, L1122‑26, L1122‑27, L1122‑30, L1133-1 et L1133-2 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation;

 

Par …. voix contre ….,

 

DECIDE:

 

1°) de créer, d’ici la fin de l’année 2013, une commission communale en vue de définir la lettre de mission du directeur général;

2°) de créer, d’ici la fin de l’année 2013, une commission communale en vue de définir la lettre de mission du directeur financier;

3°) de mandater les membres de la commission à émettre une proposition pour la composition du jury en vue du recrutement (experts).

 

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 10:43

Ajout d’un point à l’ordre du jour du conseil communal chapellois du lundi 30 septembre 2013

proposé par Bruno VANHEMELRYCK, conseiller communal «AC – FDF»

 

ELABORATION D’UNE OPERATION «DU N’ŒUF [NEUF] POUR REDUIRE LES DECHETS MENAGERS CHEZ LES TCHATS» PREVOYANT LA DISTRIBUTION DE 2 POULES PONDEUSES AUX ADMINISTRES VOLONTAIRES ET LE RESPECT D’UN REGLEMENT D’ADOPTION Y AFFERENT

 

Projet de résolution «Inviter le Collège communal à concrétiser un projet d’opération «Du n’œuf [neuf] pour réduire les déchets ménagers chez les Tchats» en prévoyant la distribution de 2 poules pondeuses aux familles candidates et le respect d’un règlement d’adoption y afférent»

 

Le Conseil communal, siégeant publiquement:

 

Attendu que, lors de la réunion du Conseil communal tenue le 16.09.2013, plusieurs membres du pouvoir exécutif local ont indiqué clairement au public et aux mandataires présents que la propreté constituait la première de leurs priorités et ont, par ailleurs, relayé cette information dans la presse écrite régionale;

 

Attendu que le décret wallon du 22.03.2007 (Moniteur belge du 24.04.2007) modifiant le décret du 27.06.1996 relatif aux déchets impose aux communes l’application du coût-vérité de manière progressive pour atteindre 100 % en 2013 tandis que l’arrêté d’exécution définit la méthode de calcul du coût-vérité;

 

Attendu que la collecte et le traitement des déchets ménagers ainsi que les coûts de gestion du parc de recyclage ont subi une forte hausse en raison de l’augmentation de la charge salariale du personnel de l’ICDI (Association Intercommunale pour la Collecte et la Destruction des Immondices de la région de Charleroi) et des investissements du charroi;

 

Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 05.03.2008 relatif à la gestion des déchets issus de l’activité usuelle des ménages et à la couverture des coûts y afférents;

 

Vu le montant considérable, en constante augmentation, de la taxe réclamée à tout ménage occupant tout ou partie d’un immeuble situé sur le territoire de la Commune de Chapelle-lez-Herlaimont pour l’enlèvement et le traitement des déchets ménagers, en l’occurrence:

 

·       en 2011: 73,00 € pour les ménages d’une personne, 146,00 € pour les ménages de 2 personnes et plus;

·       en 2012: 105,00 € pour les ménages d’une personne, 162,00 € pour les ménages de 2 personnes, 178,00 € pour les ménages de 3 personnes et plus;

·       en 2013: 117,00 € pour les ménages d’une personne, 174,00 € pour les ménages de 2 personnes, 190,00 € pour les ménages de 3 personnes et plus;

 

Attendu qu’il semble particulièrement opportun d’étudier la concrétisation de toute idée pertinente visant à diminuer l’impact financier de la gestion des déchets ménagers dans le budget tant familial que communal;

 

Attendu que certaines communes belges et de nombreuses municipalités françaises ont, dans le cadre d’un plan de prévention des déchets, déjà expérimenté avec succès la distribution de 2 poules pondeuses à leurs habitants volontaires pour réduire le volume des déchets organiques dans les ordures ménagères;

 

Attendu qu’un nombre croissant de pouvoirs locaux proposent des actions semblables à leurs concitoyens;

 

Attendu qu’un gallinacé peut, en une année, absorber 150 kilos de restes de repas, épluchures, coquilles d’œufs et autres déchets alimentaires, soit 300 kilos pour 2 poules;

 

Attendu que les déchets organiques représentent en moyenne 25 % du contenu de nos poubelles;

 

Attendu que, pour accroître les chances de réussite de l’opération, une formation spécifique à l’élevage des poules devra impérativement être dispensée aux familles candidates;

 

Attendu qu’en contrepartie de ce don, les adoptants s’engagent à se soumettre à des contrôles inopinés opérés par les services communaux pour veiller au bien-être des animaux;

 

Attendu que cette initiative contribuera également à maintenir notre commune dans un état de propreté satisfaisant;

 

Attendu que la présence de volailles sera hautement appréciée tant par les adultes pour l’apport journalier d’œufs frais que par les enfants pour son caractère ludique et éducatif;

 

Attendu que cette motion empreinte de respect pour l’environnement répond au souhait de la majeure partie des administrés;

 

Vu les articles L1122‑17, L1122‑19, L1122‑20, L1122‑24, L1122‑26, L1122‑27, L1122‑30, L1122‑33, L1133-1 et L1133-2 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation;

 

Par …. voix contre ….,

 

DECIDE:

 

d’inviter le Collège communal à concrétiser un projet d’opération «Du n’œuf [neuf] pour réduire les déchets ménagers chez les Tchats» en prévoyant la distribution de 2 poules pondeuses aux familles candidates et le respect d’un règlement d’adoption y afférent.

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 10:40

Ajout d’un point à l’ordre du jour du conseil communal chapellois du lundi 30 septembre 2013

proposé par Bruno VANHEMELRYCK, conseiller communal «AC – FDF»

 

ELABORATION D’UN REGLEMENT COMMUNAL RELATIF A LA SECURITE INCENDIE SUR BASE DU MODELE CONCOCTE PAR L’U.V.C.W. (UNION DES VILLES ET COMMUNES DE WALLONIE)

 

Projet de résolution «Inviter le Collège communal à élaborer dans les plus brefs délais possibles un règlement communal arrêtant les dispositions en matière de prévention incendie sur base du modèle proposé par l’U.V.C.W. (Union des Villes et Communes de Wallonie)»

 

Le Conseil communal, siégeant publiquement:

 

Attendu que la sécurité incendie constitue une thématique essentielle pour les bourgmestres;

 

Attendu qu’à l’heure actuelle, hormis quelques législations spécifiques (par exemple, celles qui imposent le détecteur d’incendie), il n’y a pas de législation complète visant à limiter les risques d’incendie dans les immeubles auxquels les normes de base ne sont pas applicables;

 

Attendu qu’il s’ensuit que de nombreux logements présentent des risques importants en termes de sécurité incendie, qui peuvent d’ailleurs avoir des conséquences dramatiques et entraîner des pertes humaines;

 

Attendu que les logements unifamiliaux semblent présenter moins de risques que les logements multiples, que ce soit en termes d’évacuation des personnes ou en termes de risques d’incendie qui augmentent proportionnellement en fonction du nombre de logements (et donc, d’équipements potentiellement sources d’incendie) et d’habitants dans un même bâtiment;

 

Attendu que le nombre d’étages du bâtiment entre également en ligne de compte en ce qui concerne l’extinction d’un incendie et l’évacuation d’un immeuble;

 

Attendu que les matériaux utilisés dans la construction ou l’aménagement des bâtiments jouent également un rôle important en termes de propagation de l’incendie;

 

Attendu que les communes ont évidemment une fonction prépondérante à assumer en l’espèce puisque la Nouvelle Loi Communale (NLC) permet, via ses articles 119 et 135, par. 2, au Conseil communal d’adopter des règlements communaux afin d’éviter tout trouble de l’ordre public, c’est-à-dire éviter des troubles à la salubrité, à la sécurité et à la tranquillité publiques «dans la mesure où la matière n’est pas exclue de la compétence des communes»;

 

Attendu que l’article 135, par. 2, de la NLC précise, en outre, certains «objets de police confiés à la vigilance et à l’autorité des communes», notamment «le soin de prévenir, par les précautions convenables, et celui de faire cesser, par la distribution des secours nécessaires, les accidents et fléaux calamiteux, tels que les incendies, les épidémies et les épizooties»;

 

Attendu que, sur base de différents constats et obligations imposées aux pouvoirs locaux, l’U.V.C.W. a concocté un modèle de règlement communal en matière d’incendie dans les logements pour pallier l’absence d’une législation imposant des règles minimales de sécurité pour les bâtiments les plus anciens et donc les moins adaptés aux règles de prévention et de sécurité actuelles;

 

Attendu que ce règlement-type pourra, en vertu de l’autonomie communale, être modifié en fonction des situations particulières qui pourront être rencontrées localement;

 

Attendu que le nouveau règlement général de police applicable dans l’entité chapelloise comprend seulement 2 dispositions consacrées aux mesures propres à prévenir les incendies, en l’occurrence les articles 83 et 84;

 

Attendu que le modèle de règlement incendie concocté par l’U.V.C.W. se trouve sur les réseaux des conseillers en logement et police-délinquance environnementale de l’U.V.C.W.;

 

Attendu que, pour éviter tout problème ainsi que d’éventuels et regrettables dysfonctionnements, la Commune de Chapelle‑lez‑Herlaimont doit veiller à élaborer dans les plus brefs délais possibles un règlement communal arrêtant les dispositions en matière de prévention incendie;

 

Attendu que cette requête salutaire répond au souhait de la majeure partie des administrés;

 

Vu les articles L1122‑17, L1122‑19, L1122‑20, L1122‑24, L1122‑26, L1122‑27, L1122‑30, L1122‑33, L1133-1 et L1133-2 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation;

 

Par …. voix contre ….,

 

DECIDE:

 

d’inviter le Collège communal à élaborer dans les plus brefs délais possibles un règlement communal arrêtant les dispositions en matière de prévention incendie sur base du modèle proposé par l’U.V.C.W. (Union des Villes et Communes de Wallonie).

 

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 10:37

Ajout d’un point à l’ordre du jour du conseil communal chapellois du lundi 30 septembre 2013

proposé par Bruno VANHEMELRYCK, conseiller communal «AC – FDF»

 

ADHESION A LA MOTION DES VILLES ET COMMUNES VISANT A SOUTENIR LE PROGRAMME DE COOPERATION INTERNATIONALE COMMUNALE (CIC)

 

Projet de résolution «Inviter le Collège communal à soutenir le programme de Coopération Internationale Communale (CIC) en adhérant à la motion des Villes et Communes»

 

Le Conseil communal, siégeant publiquement:

 

Considérant la politique internationale menée par la Commune de Chapelle‑lez‑Herlaimont depuis de nombreuses années;

 

Attendu que, depuis plus de 10 ans, le Programme de Coopération Internationale Communale (CIC), instrument de la Coopération belge au développement, est piloté à l'unisson et avec des résultats tangibles par l’Union des Villes et Communes de Wallonie (UVCW), l’Association de la Ville et des Communes de la Région de Bruxelles-Capitale (AVCB) et la Vereniging van Vlaamse Steden en Gemeenten (VVSG);

 

Attendu que cette action collective a pour ambition de renforcer l'institution communale du Sud pour lutter contre la pauvreté, dont une des composantes est un accès inadéquat de la population aux biens et services publics, et plus particulièrement de proximité;

 

Attendu que le Programme de CIC accroît les capacités des municipalités du Sud à prendre en charge leur propre développement local via:

 

- une bonne gouvernance politique,

- une administration efficace,

- une participation des citoyens dans le processus décisionnel.

 

Attendu que le rôle des autorités locales comme acteurs du développement est aujourd’hui unanimement reconnu et salué par toutes les instances internationales, comme en témoignent encore les toutes récentes Assises de la coopération décentralisée organisées par le Comité des Régions et la Commission européenne;

 

Attendu que près de 50 communes belges participent actuellement au Programme de CIC et engrangent des résultats plus que prometteurs, comme une évaluation externe récente l'a démontré;

 

Attendu que les collectivités locales sont en première ligne dans l’accès de la population à des biens et services publics de base;

 

Attendu que la lutte contre la pauvreté - dont une des composantes est un accès inadéquat de la population aux biens et services publics de base - passe indubitablement par le renforcement des institutions locales;

 

Attendu que tous les bailleurs de fonds internationaux voient dans la coopération de commune à commune une réponse aux nombreux défis soulevés par les processus de décentralisation en cours dans de nombreux pays en voie de développement;

 

Considérant que le rôle des autorités locales comme acteurs de développement est aujourd’hui reconnu et salué par toutes les instances internationales, comme en témoignent encore les toutes récentes Assises de la Coopération décentralisée organisées par le Comité des Régions et la Commission européenne;

 

Attendu que le Gouvernement belge, au travers de sa nouvelle loi sur la coopération au développement, vise à renforcer l’efficacité de l’aide au développement et la cohérence des politiques en faveur du développement;

 

Attendu que la Coopération belge au développement s’inscrit dans le long terme et vise la continuité des relations de partenariat;

 

Attendu que la Coopération belge promeut la concentration géographique et sectorielle de son aide au développement auprès de tous les acteurs de la coopération indirecte;

 

Considérant que, dès le Programme de CIC 2008-2012, les Villes et Communes wallonnes et bruxelloises ont concentré leurs efforts sur 5 pays (Bénin, Burkina Faso, Maroc, RDC et Sénégal) et un secteur particulier au sein de chacun d’eux afin d’appuyer l’effort de la Belgique dans sa politique de rationalisation de son aide, au détriment de l’autonomie des acteurs de la coopération indirecte;

 

Attendu que, dans ces 5 pays, la démarche singulière et innovante impulsée par l’Union des Villes et Communes de Wallonie (UVCW) et l’Association de la Ville et des Communes de la Région de Bruxelles-Capitale (AVCB) est appréciée, tant par les autorités nationales que par d’autres acteurs de la coopération décentralisée;

 

Considérant que le Programme de CIC 2008-2012 a démontré toute sa pertinence et engrange des résultats tangibles et plus que prometteurs, comme l’a souligné une récente évaluation externe;

 

Considérant que ce sont près de 40 villes et communes en Régions wallonne et bruxelloise, et autant au Bénin, au Burkina Faso, au Maroc, en RDC ou au Sénégal, qui participent au Programme de CIC et, ensemble, fondent beaucoup d’espoir dans la poursuite du travail entamé au bénéfice de leurs populations respectives;

 

Considérant que les blocages actuels liés au débat sur le transfert des compétences dites "usurpées" du niveau fédéral belge vers les entités fédérées (Communautés et Régions) ne sont en rien imputables ni aux acteurs communaux ni à la qualité du travail fourni;

 

Considérant qu’un arrêt pur et simple de la coopération internationale communale, qui œuvre à des changements en profondeur dans la gestion publique locale, risquerait d’en ruiner les acquis et d’anéantir les premiers effets bénéfiques que les financements dégagés jusqu’à présent ont permis de générer;

 

Considérant que l’UVCW et l’AVCB ont déposé, le 15 novembre 2012, comme demandé par la Coopération belge elle-même, un cadre stratégique pluriannuel pour la période 2014-2016/2017-2019, intégrant des recommandations pertinentes de l’évaluation externe;

 

Considérant que la décision tardive du Gouvernement fédéral, en date du 3 mai 2013, de n’engager qu'une partie limitée du budget du Plan d’action 2013 hypothèque toujours la poursuite de cette coopération, d’autant qu’aucune position n’est à ce jour adoptée pour ce qui concerne l’avenir du Programme dès 2014;

 

Nous, responsables politiques de la Commune de Chapelle-lez-Herlaimont, marquons notre solidarité avec les pouvoirs locaux participant au Programme de CIC, en demandant avec la plus grande insistance que:

 

1°) le solde du financement du Plan annuel 2013 soit garanti pour assurer aux partenariats communaux une poursuite correcte de leurs activités et ce, quelle que soit la décision de transfert ou non du Programme aux entités fédérées;

 

2°) le Gouvernement fédéral belge communique dès à présent clairement sa position concernant un éventuel transfert de la coopération internationale communale afin de permettre à toutes les parties de s’organiser en conséquence, et d’assurer aux villes et communes belges, reconnues aujourd’hui comme acteurs à part entière de la Coopération belge, un cadre de coopération stable;

 

3°) si la compétence reste fédérale, la Coopération belge s’engage clairement à maintenir le financement du Programme sur une base pluriannuelle;

 

4°) si cette compétence est transférée aux entités fédérées belges, soit prévue une transition progressive, respectueuse des pouvoirs locaux, et que celles-ci s’engagent, dans le souci d’une bonne gestion cohérente de fonds publics et d’une cohérence maximale dans les politiques de développement de la Belgique, à:

 

- d’une part, poursuivre et consolider cette initiative qui a fait ses preuves et dont les entités fédérées belges ne peuvent ignorer l’intérêt, dès lors que cette coopération de qualité est mise en œuvre par les autorités locales;

 

- d’autre part, lui assurer un financement correct, permettant de préserver la méthode de travail originale mise en place par l’UVCW et l’AVCB;

 

5°) les autorités fédérales et les entités fédérées belges intègrent spécifiquement la coopération internationale communale dans leurs politiques de développement;

 

Vu les articles L1122‑17, L1122‑19, L1122‑20, L1122‑24, L1122‑26, L1122‑27, L1122‑30, L1122‑33, L1133-1 et L1133-2 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation;

 

Par …. voix contre ….,

 

DECIDE:

 

d’inviter le Collège communal à soutenir le programme de Coopération Internationale Communale (CIC) en adhérant à la motion des Villes et Communes.

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 10:21
3 motions proposées au vote des conseillers communaux chapellois lors de la prochaine réunion de l'assemblée législative locale fixée au lundi 30.09.2013 ayant respectivement pour objectifs d'inviter le Collège communal à:
  • concrétiser un projet d'opération "Du n'oeuf [neuf] pour réduire les déchets ménagers chez les Tchats" en prévoyant la distribution de 2 poules pondeuses aux familles candidates et le respect d'un règlement d'adoption y afférent;
  • élaborer dans les plus brefs délais possibles un règlement communal arrêtant les dispositions en matière de prévention incendie sur base du modèle proposé par l'U.V.C.W. (Union des Villes et Communes de Wallonie);
  • soutenir le programme de Coopération Internationale Communale (CIC) en adhérant à la motion des Villes et Communes.
Tous les détails sur ces 3 projets de résolution disponibles sur ce blog.
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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 08:46

Ajout d’un point à l’ordre du jour du conseil communal chapellois du lundi 16 septembre 2013

proposé par Bruno VANHEMELRYCK, conseiller communal «AC – FDF»

 

CONTRIBUTION AU COMMERCE EQUITABLE ET A L’AGRICULTURE DURABLE DANS LA COMMUNE DE CHAPELLE‑LEZ‑HERLAIMONT

 

Projet de résolution «Proposition de contribuer à adopter les principes du commerce équitable et de l’agriculture durable dans l’entité chapelloise en participant à la campagne ‘Communes du commerce équitable’»

 

Le Conseil communal, siégeant publiquement:

 

Considérant le rejet par la majorité socialiste d’une motion proposée lors de la réunion de l’assemblée législative locale du 28.11.2011 préconisant d’adopter les principes du commerce équitable et de l’agriculture durable dans l’entité chaopelloise en participant à la campagne «Communes du commerce équitable»;

 

Considérant qu’il convient, par conséquent, de soumettre au vote des conseillers communaux chapellois un projet de résolution semblable pour une matière toujours d’actualité;

 

Considérant la politique internationale menée par la Commune de Chapelle‑lez‑Herlaimont;

 

Considérant qu’un revenu décent pour le producteur est un élément-clé des modèles de production et de consommation durables;

 

Considérant que la Commune a pour mission, dans le cadre de sa politique «Nord‑Sud» ou de développement durable, de sensibiliser sa population;

 

Considérant que la Commune, niveau de pouvoir le plus proche des citoyens, dispose de leviers d’action dans de nombreux domaines, notamment dans celui de la consommation durable;

 

Considérant que la campagne «Communes du commerce équitable», initiée en Wallonie par Max Havelaar Belgique, Miel Maya Honing et Oxfam-Magasins du monde, permet aux communes de s’engager concrètement en faveur du commerce équitable et de l’agriculture locale et durable;

 

Considérant que l’objectif de cette campagne vise à sensibiliser au commerce équitable et à encourager la consommation de produits équitables à l’échelon communal;

 

Considérant qu’une Commune souhaitant recevoir le titre de «Commune de commerce équitable» doit, en collaboration avec les acteurs locaux, remplir six critères, à savoir:

 

1)  le Conseil communal doit voter une résolution par laquelle la Commune entre formellement dans la campagne.  L’Administration communale doit, par ailleurs, s’engager à consommer du café équitable et au moins un autre produit issu du commerce équitable;

2)  un certain nombre de commerces et d’établissements Horeca (en fonction du nombre d’habitants de la Commune) doivent proposer à leurs clients des produits issus du commerce équitable et communiquer sur cette offre;

3)  des entreprises, organisations et écoles doivent offrir des produits issus du commerce équitable à leurs publics et diffuser de l’information sur leur engagement;

4)  la Commune doit assurer une communication régulière vers les médias et organiser au moins un événement annuel de sensibilisation à destination du grand public;

5)  un comité de pilotage regroupant des acteurs locaux doit être constitué pour assurer l’engagement de la Commune dans la durée et la mener vers l’obtention du titre;

6)  la Commune doit s’engager à soutenir au moins une initiative en faveur des produits agricoles locaux et durables;

 

Considérant que de nombreuses villes et communes wallonnes (Andenne, Ath, Charleroi, Chièvres, Ciney, Clavier, Durbuy, Eghezée, Esneux, Eupen, Fernelmont, Fléron, Floreffe, Florennes, Gembloux, Genappe, Ittre, La Bruyère, La Louvière, Liège, Mons, Soignies, Thuin, Verviers…) et bruxelloises (Anderlecht, Bruxelles, Etterbeek, Ixelles, Molenbeek‑Saint‑Jean, Saint‑Gilles, Schaerbeek, Watermael‑Boitsfort, Woluwe‑Saint‑Lambert…) ont déjà entériné leur adhésion aux «Communes du commerce équitable»;

 

Considérant qu’il serait judicieux que Chapelle-lez-Herlaimont épouse également ces nobles principes;

 

Vu les articles L1122‑13, L1122‑17, L1122‑19, L1122‑20, L1122‑24, L1122‑26, L1122‑27, L1122‑30, L1133-1 et L1133-2 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation;

 

Par …. voix contre ….,

 

DECIDE:

 

de contribuer à adopter les principes du commerce équitable et de l’agriculture durable dans l’entité chapelloise en participant à la campagne «Communes du commerce équitable» selon les modalités précisées ci-après:

 

Article 1:

 

Dans le cadre d’une politique d’achats durables sur le plan social, écologique et économique, la Commune prêtera attention aux revenus reçus par les producteurs du Sud pour leurs produits et à leurs conditions de travail.

Pour le café et un autre produit à déterminer, la Commune fera appel aux fournisseurs qui proposent des produits répondant aux critères internationaux du commerce équitable, c’est-à-dire des produits portant le label «Fairtrade Max Havelaar» sur l’emballage ou un label équivalent, ou des produits répondant à des conditions semblables à celles du label «Fairtrade Max Havelaar».

 

Article 2:

 

La Commune s’inscrira dans la campagne «Communes du commerce équitable» (www.cdce.be) et mettra en place un comité de pilotage diversifié pour en assurer le suivi, tel que prévu dans le critère 5 de la campagne.

 

Article 3:

 

La Commune communiquera, en interne et vers l’extérieur, à propos du commerce équitable et de sa politique d’achats durables afin d’informer et sensibiliser son personnel et la population.

 

 

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 08:44

Ajout d’un point à l’ordre du jour du conseil communal chapellois du lundi 16 septembre 2013

proposé par Bruno VANHEMELRYCK, conseiller communal «AC – FDF»

 

VALORISATION DU VOLONTARIAT DANS LE CADRE ASSOCIATIF SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE DE CHAPELLE‑LEZ‑HERLAIMONT

 

Projet de résolution «Proposition de valoriser le volontariat dans le cadre associatif sur le territoire de la Commune de Chapelle‑lez‑Herlaimont»

 

Le Conseil communal, siégeant publiquement:

 

Vu la Constitution belge qui, en son article 27, reconnaît la liberté d’association;

 

Vu la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme du 10 décembre 1948;

 

Vu la Charte Européenne des droits fondamentaux du 7 décembre 2000;

 

Vu la Convention Internationale des Droits de l’Enfant du 20 novembre 1989;

 

Vu la loi du 23 mars 1995 visant à réprimer la négation, la minimisation, la justification ou l’approbation du génocide national-socialiste pendant la deuxième guerre mondiale, ou de toute autre forme de génocide;

 

Vu la loi du 30 juillet 1981 tendant à réprimer le racisme ou la xénophobie;

 

Vu la loi sur les ASBL du 27 juin 1921 sur le cadre légal des associations, modifiée par la loi du 2 mai 2002;

 

Vu la loi des droits des volontaires du 19 juillet 2006 qui modifie celle du 3 juillet 2005;

 

Vu les résolutions relatives à la Charte associative, adoptées les 28, 29 et 30 avril 2009 par les Parlements de la Région wallonne, de la Communauté française et de la Région de Bruxelles-Capitale;

 

Attendu que l’Union des Villes et Communes de Wallonie encourage ses membres à soutenir le volontariat et le tissu associatif;

 

Attendu qu’avec l’assentiment du Conseil de l’Union européenne qui a proclamé 2011 «Année du Volontariat», la Plate-forme francophone du Volontariat (PFV) a organisé en 2012 la «Première semaine du volontariat»;

 

Attendu que cet événement a marqué le lancement officiel du programme «Volontariat POUR TOUS», qui se déclinera  à travers de nombreuses thématiques jusqu’aux élections régionales, communautaires, fédérales et européennes de juin 2014;

 

Attendu qu’il faut saisir cette opportunité pour promouvoir les actions de notre commune dans ce domaine;

 

Attendu que, lors de la réunion de l’assemblée législative locale du 12 décembre 2011, la majorité socialiste a rejeté une motion préconisant d’adhérer aux principes de la charte de la vie associative de Chapelle‑lez‑Herlaimont;

 

Considérant l’utilité de créer au sein de l’Administration communale un service chargé de coordonner la demande et l’offre en matière de volontariat et de désigner un référent au sein du Collège communal;

 

Considérant le rôle moteur que revêt le secteur associatif dans l’organisation de notre société;

 

Considérant les nombreux services rendus par les associations en matière sociale, de santé, d’environnement, de culture, de formation, d’éducation, de sécurité et de prévention;

 

Considérant la densité du secteur associatif dans l’entité chapelloise;

 

Considérant la nécessité d’assurer une coordination transversale entre les dispositifs présents sur le territoire de la Commune de Chapelle‑lez‑Herlaimont;

 

Considérant le partenariat déjà existant entre les autorités communales chapelloises et plusieurs initiatives émanant du secteur associatif;

 

Considérant qu’il importe de faire face à la libéralisation croissante des services d’intérêt général, en particulier des services sociaux et à la marchandisation exacerbée qu’induit le système socio-économique en vigueur;

 

Considérant l’existence de l’exposition sur le Volontariat organisée par la Plate-forme francophone pour le Volontariat qui regroupe 50 % du secteur associatif francophone et plus de 300.000 membres;

 

Vu les articles L1122‑13, L1122‑17, L1122‑19, L1122‑20, L1122‑24, L1122‑26, L1122‑27, L1122‑30, L1133-1 et L1133-2 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation;

 

Par …. voix contre ….,

 

DECIDE:

 

d’inviter le Collège communal à soutenir la vie associative et le volontariat dans l’entité chapelloise en:

 

·       inscrivant le volontariat dans la politique communale,

·       impliquant tous les départements et services de la Commune,

·       dégageant une ligne budgétaire,

·       désignant un référent au sein du Collège communal,

·       participant à la mise en réseau entre les communes,

·       envisageant, avec l’aide de l’asbl «Plate-forme francophone du Volontariat», d’organiser un «Salon du Volontariat».

 

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